L’année des changements et des mutations imprévisibles
2011 est sur le point de se terminer et chacun se prépare à évaluer les réalisations entreprises individuellement et/ou collectivement.
Le climat connu pour sa versatilité intemporelle ne change pas dans sa progression et ses mutations imprévisibles.

Le monde s’indigne. Les plus démunis s’allient aux couches moyennes contre les classes dirigeantes et les plus nantis. Les gouvernants sont mis à l’index. La corruption s’empare de tous. Les incorruptibles se font de plus en plus rares.
Les idéologies s’emparent de tout ce qui mobilise les masses et leurs artisans veulent plus de pouvoir.
Les citoyens de partout explorent ''le bien vivre ensemble'' au grand dam des dirigeants qui ont égarés leurs qualités de discernement, leur esprit de compréhension et leurs aptitudes d’anticipation.

Le retour aux sources n’est pas seulement un voyage vers le passé c’est aussi le lieu que l’on revisite pour se purifier, en partie, un peu ou beaucoup.
L’éducation et la diffusion des sciences sont plus fragmentées et les technologies de l’information génèrent des réseaux sociaux reliant et liant tous les indignés de par ce bas monde.

Ceux qui explorent l’histoire et qui par leurs aptitudes de rechercher et d’analyser, tentent d’offrir une lecture plus pertinente de la place de l’humain dans des sociétés de plus en plus plurielles n’osent plus se prononcer et lorsqu’ils le font c’est avec plus de prudence et de réserve.
