Le non emploi des maghrébins au Québec -5/5-
Comme je le soulignais précédemment, des dizaines de commentaires, d’avis et d’opinions se sont succédé sur Linkdln, les uns aussi pertinents que les autres. Ma participation s’est voulue par moments complémentaire à certains commentaires et parfois en opposition à certains. Je fais mien le principe selon lequel nous avons tous une responsabilité tant individuelle que collective dans le statut de la communauté algérienne dans les pays qui l’accueillent.
1. Je conviens, et c’est mon point de vue, que les Maghrébins (et dans ce cas précis je parle plus des algériens dont je fais partie intégrante - sans diminuer en quoi que ce soit les autres – mais je prétends la connaître au moins un peu plus que les autres communautés) qui ne se trouvent pas un emploi sont souvent surqualifiés, expérimentés, suffisamment dignes pour se passer du Bien Ëtre Social, et j'ajouterais fortement engagés pour être productifs dans les entreprises qui veulent bien les recruter. Ils font partie de mes 15%. Ce sont ceux qui en majorité sont arrivés entre 1998 et 2004
2. Je maintiens mon appréciation au sujet des autres 18% - arrivés entre 2004 et aujourd'hui - et si nous sommes - un tant soit peu – objectifs, nous connaissons, nous savons au moins en partie les raisons de cette situation.
À suivre
Ferid Chikhi